C’est le défi qu’une femme a lancé à son mari. Il a dessiné 365 fois un ou des pénis dans des situations, des positions et des états différents. Il aura ainsi utilisé 4 marqueurs rouges pour relever ce défi improbable. Des tableaux de maîtres, on peut noter par exemple la Joconde ou La jeune fille à la perle de Vermeer, aux animaux (dragon, centaure, chiens de traîneau ou encore monstre du Loch Ness), dans ce défi, le pénis peut incarner n’importe quoi.
Un défi absurde… mais hilarant !
Si les références à la musique sont aussi de la partie — on aperçoit par exemple quatre pénis figurant les Beatles traversant Abbey road — le sport n’est pas en reste, avec un pénis-bobsleg ou des pénis-skis. Les pénis sont aussi dans la nourriture, hot dog, bananes, les objets de la vie quotidienne et les monuments emblématiques des États-Unis. Vers la fin, le pénis est mis à mal, il apparaît déchiqueté, découpé, rongé par les vers ou sortant d’un grille-pain. Comme si le dessinateur avait voulu en finir avec ce défi absurde qui a, on le voit, donné du fil à retordre à son imagination.
