Vous venez de repérer une annonce sur un site de rencontres, seulement vous vous demandez s’il ne vaut mieux pas la prendre au second degré si vous voulez éviter les arnaques sur les sites coquins. Remarquez une syntaxe indigente ou la présence d’une adresse email dans l’annonce. Ce genre de message est envoyé par mail ou par chat. Les arnaques sur les sites coquins sont monnaie courante. Parce que la plupart des mecs recherchent surtout un coup d’un soir sur les sites de rencontres, ils deviennent les cibles privilégiées des profils constitués par des agences matrimoniales des pays de l’Est, sans oublier les arnaques aux frais de voyage. Au cas où vous répondez, vous recevrez un mail vous expliquant qu’Aliya veut bien vous répondre, seulement, il faut vous inscrire sur le site de l’agence matrimoniale où elle est inscrite. Une foule d’escrocs sévit sur les sites coquins, composés à 99% environ d’arnaques. Suivez notre guide pour éviter, sinon réduire drastiquement les arnaques sur les sites coquins.
Reconnaître l’arnaque aux frais de voyage
Ce type d’arnaque est très répandue et généralement en provenance des pays africains. Vous trouvez un profil avec des photos relativement osées, recevrez un message similaire à ceux évoqués plus haut, avec une adresse de messagerie sur laquelle contacter la cible. En général, la demoiselle vous répondra en précisant qu’elle doit être bientôt à Paris et vous rencontrera avec plaisir. Le bémol, c’est qu’elle est bloquée parce que sa mère est malade ou que sa maison a été incendiée. Par ailleurs, elle n’a pas de quoi s’offrir le billet d’avion. Super technique pour trouver un gogo assez crédule pour envoyer de l’argent. Une fois l’argent envoyé, la demoiselle pourra s’envoler… définitivement, et surtout pas pour Paris. Derrière ce type de profil peut très bien se cacher un garçon ou un groupe bien organisé.
Reconnaître les réseaux de prostitution
Sur les sites coquins, attendez-vous à retrouver des créatures ordinairement rencontrées sur les trottoirs : le plus vieux métier du monde s’est adapté et a intégré les technologies nouvelles. La prostitution 2.0 est cependant moins présente sur les sites coquins que les faux profils ou les tentatives d’arnaque à l’agence matrimoniale. L’ennui, c’est que vous le découvrez souvent très tard… Le lendemain d’une nuit agitée, lorsque votre coup d’un soir vous demande de payer sa facture.
Etre rusé comme… le serpent
Sur les sites gratuits, tout le monde peut créer de faux profils à volonté. Sur les sites payants, il peut arriver qu’on vous déclare des milliers d’inscrit(e)s, mais vous avez accès à seulement une vingtaine de profils, pour des raisons évidentes : il faut payer son adhésion pour voir plus ! Une fois que vous avez payé, plus de signes de vie et surtout pas de retours des appels et courriels.
Evitez d’ouvrir trop vite votre portefeuille. Il est fréquent qu’après une longue discussion ou au cours d’un chat, elles seront nombreuses les fausses femmes à vous demander de l’argent, pour payer le billet d’avion aller-retour afin de vous rencontrer, pour payer un abonnement pour leur parler en privé, pour payer le service de chat audio-vidéo. Restez attentifs à de nombreux détails comme des photos trop sexy, ou trop peu de photos. Demandez plusieurs photos à votre interlocuteur, dans des situations et lieux différents, pour vérifier qu’il s’agit bien d’un vrai profil. Pour éviter les rendez-vous avec des fakes, demandez le numéro de téléphone de la belle blonde d’1m74 afin de lui parler un peu avant de la rencontrer. Un homme averti en valant deux, vous aurez peut-être le privilège avec l’attitude adéquate de vous amuser de celui qui pense s’amuser à vos dépens.
J’ai été escroqué par un certain marveau Alain rencontré sur un site de rencontre puis après il part en afrique . Il m’a arnaquer d’une somme de 8673€ mais grace aux agents de la police lutte anti arnaque sur le net en Afrique , cet escroc a été arrêter puis j’ai récupérer tout mon argent, vous pouvez faire de même si vous avez été arnaquer de cette manière,
faites attention sur internet.